16 juin 2006

Le cul intorchable !

Changeons un peu, fini les rêves.
Je sais pas si ça n'arrive qu'a moi, mais j'ai parfois un truc qui m'énerve plus que tout.
Je viens de chier, et je m'essuie, et là, j'ai beau me torcher, il en reste toujours sur le papier !
Deux choses à dire, déjà je regarde mon papier pour voir s'il est propre ou sale. Ensuite, je DETESTE avoir le cul sale ou qui gratte. Quand j'habitais chez mes parents, j'avais un bidet, et je me lavais souvent le cul dans le bidet plutôt que de m'essuyer. A noter aussi que j'ai par le passé eu une consommation de piments divers et variés en goût comme en puissance, et que mon cher petit anus n'a malgré tout jamais réussi à s'habituer. Jamais réellement eu d'hémorroïdes, car elles s'ouvraient. Donc des saignements trop fréquents, et une irritation du cul quasi constante.
A noté enfin, pour reprendre une citation des quatre poètes haut en de Gronibard : il est pas rond, il est pas carré, il est ovale mon trou de balle.
Voilà, une présentation générale avec mon cul est faites.
Tout ça pour dire que parfois, j'ai beau me torcher, mon PQ reste sale. Alors que parfois 6 feuilles suffisent (au passage j'utilise soit deux soit trois feuilles pour chaque acte de torchage), soit trois actes de torchage, et bien quand la malédiction du cul intorchable se présente, il m'en faut jusqu’à 20, voir plus !
Je ne sais si ça dépend de la nature de mes selles (je sais, à quoi bon commencé avec le politiquement correcte maintenant...) bref, est-ce ma merde, le temps, ou l'age du capitaine qui fait que la merde parfois colle au cul comme un vieux s'accroche à la vie, mais je déteste ça au plus au point !