22 avril 2006

Changement de terrier réjouit les potes...

Hier évènement important ! Majeur même.

On m'a appris que mon meilleur ami, du genre Lagomorphes pour les intimes, divorçait, et revenait au bercail. Drame à la fois, une fillette de 3 mois y laissera malheureusement des plumes, mais aussi joie (mitigée et un tantinet malsaine), de retrouver mon pote.

Histoire triste dans tout les cas.

Le léporidé en question avait fuit la région, plus ou moins emmené par sa compagne qui cherchait à le séparer de sa famille d'adoption qui prenait trop de place à son goût. Peut importe, il était heureux, donc rien a dire.

Seulement voila, madame vivait dans ses fantasmes, et n'arrivait visiblement pas à faire la part entre ses peurs et ses envies. Ayant vécu de traumatisantes expériences masculines dans sa jeunesse, elle avait en horreur les gros machos virils. Une vraie femme comme elle préfère la sensibilité et la délicatesse. Tant qu'on peut l'écraser on garde le contrôle. Mais voila, beaubeauf avec ses gros sabots et ses 100 kilos en presque muscle, qui ramène sa… graisse. Madame à une sœur. Elle idolâtre sa sœur, qui est belle comme elle aurait voulu l'être, et qui n'a pas vécu les mêmes expériences. Sœur en l'occurrence et proche du modèle culturelle parental. L'homme domine, la femme est là pour servir. D’où pour madame problème, entre son éducation qui lui dit noir, sont intelligence qui lui dit blanc, que choisir. Elle, elle prend blanc, mais sœur est là pour dire noir. Blanc pendant ce temps là ce retrouve tiraillé et embringué dans une histoire ou il n'a rien à faire, qui le broie gentiment mais sûrement, et pas si lentement qu'on peut le croire.

Dur à comprendre, surtout expliqué comme ça, mais triste, très triste, surtout pour la petite, qui se retrouve sans père, peut-être… ou a 80 kilomètre.

Rêve humide...

La fille n'a pas de visage, juste un corps, juste un sexe devrais-je dire.

Je suis devant elle, ébahi devant la fleur à peine éclose qui se cache timidement entre quelques poils follets. Je regarde la blondeur de son sexe, et tranquillement j'approche ma main. Je touche du pouce le renflement du mont de vénus. J'appuie tendrement pour en éprouver l'élasticité. Ce renflement de chair m'a toujours fasciné sans que je sache pourquoi. Mettre ma main dans la culotte d'une fille m'a toujours électrisé, à tel point que je m'attarde inutilement longtemps sur cette zone charnue. Lentement je descends mon pouce le long des lèvres qui s'écartent sur mon passage, laissant apparaître une muqueuse luisante, du carmin le plus pur.

Déjà l'odeur tant attendu envahie la pièce, cette odeur qui me rend fou, qui me fait vibrer de tout mon corps, et qui me fait bander aussitôt. J'approche mon nez, je m'enivre de cette odeur, et déjà mon sexe se tend et palpite d'impatiente. Je darde ma langue pour goûter à ce sexe, je donne de petits coups de langes pour savourer ce divin nectar… un frisson de bonheur me fait reculer, mon cœur bas à tout rompre, d'excitation ou d'amour je ne sais, souvent les hommes confondent les deux… Le plus doux des miels ne vient pas la cheville de la cyprine, le plus fin des vins ne m'enivre pas autant, le plus délicat des parfums ne me tourne pas autant la tête. Je glisse ma langue entre les deux lèvres, d'abord doucement, puis de plus en plus vite, pris par une sorte de frénésie, mon visage devient de plus en plus mouillé, ma bouche est toute poisseuse de mouille, mes doigts m'aident à écarter les lèvres, ils sont gluants aussi mais l'odeur de cyprine y restera pendant au moins six heures si je ne me les lavent pas. Quel bonheur de pouvoir en douce sentir ses doigts, d'avoir encore cette fabuleuse odeur sur les mains. Je comprends très bien Jean-Baptiste dans "Le Parfum" de Patrick Suskind. Vouloir concentrer cette odeur, en faire un véritable parfum dont il peut s'enivrer à volonté, moi aussi je recherche ma Laure, dont le parfum à lui seule me procura plus d'extase que la femme la plus douée. Puis je cède la place à son plaisir pur, et m'attaque au clitoris, tout poisseux de mouille, de salive, la mienne, la sienne, ses doigts ont déjà joués gentiment avec son petit bouton. Ma langue en fait le tour, sans jamais le toucher, sans jamais le heurter, je l'enroule autour, puis j'y passe subrepticement la langue pour lui faire un peu mal, une pic de douleur-plaisir, mais juste assez pour ne pas l'irriter. Puis j'introduis mon pouce dans son vagin, mon index dans son anus, elle bouge de plus en plus, elle prend le rythme, elle se branle sur mes doigts, et je taquine son clitoris, j'accélère les mouvements de ma langue, je la fais courir follement autour de son clitoris, et je sens son corps qui se tend, je sens sa respiration qui s'accélère, devient chaotique, elle cherche son souffle, elle étouffe de plaisir, ses cuisses se contractent, elle gémit et d'un coup, brutalement, elle jouit sans retenue, son corps cède à la pression, elle m'enserre la tête entre ses cuisses, elle crie son plaisir, elle se débat pour échapper à mes coups de langues, à mes doigts qui la fouille… je me retire pour lui laisser le temps de savourer et de récupérer.

Je ne sais depuis quand je me suis réveillé, mais le rêve persiste, j'ai beau avoir les yeux ouvert, l'odeur est toujours là dans ma tête, dans mon nez. Mais ce matin là, je suis seul dans mon lit, madame n'est pas là… triste, je ne passerais pas du rêve à la réalité.

10 avril 2006

Allez, je continue dans les rêves !

Cette nuit, rêve à envoyer en partie aux auteurs des guignols de l'info…

Début confus.

Mes voisines, les deux petites grosses arabes moches, qui ressemblaient en l'occurrence aux deux petites gamines adorables du film de la vieille (15 août), jouaient au ballon dans leur cour. Le ballon tombe dans la mienne, et elles entres dans ma cour pour le récupérer. Le ballon cogne contre la porte du garage qui s'ouvre toute seule. Je peste par qu'il va falloir la réparer encore vu qu'elle s'ouvre tout le temps. Je peste aussi contre les gamines qui font chier !

Je joue un peu au foot avec elles et d'autres gens, et la partie de foot se transforme, autre décor, Afrique, joueurs noirs de reportage télé, pauvre, moitié nus moitié guenilles, la partie est politique, des gens assistent, des politiciens. L'enjeu de la partie est de savoir si l'aide internationale va aider à exterminer la malaria ou si elle va lutter contre la famine. L'un ou l'autre, pas assez de sous pour les deux !

Une vaudounô sors de sa case, et dis qu'elle a réussi à contacter l'esprit du général De Gaulle et invite les politiciens présents à venir l'interroger. Défile alors tout les politiciens français de droite, extatique, attendant les paroles saintes du Général, et surtout la consécration d'être reconnu par lui et d'avoir son aval pour exercer sa politique ! Lui, il est mort, il s'en cogne, tout se qu'il trouve à dire sur les gens est soit TRES négatif soit des détails de la vie quotidienne, genre, à Cantonna devenu politicien (?) il dit : Beau but ! Et à Chirac il dit : Encore là ce couillon !

Bref, Chirac repense à ça, seule dans sa cuisine en bordel, genre canette de Corona et vaisselle sale, à la veille des élections de 2007. Il est en train de battre des œufs pour faire une omelette. Il essaye de contacter encore et toujours l'esprit de De Gaulle pour savoir s'il va gagner les élections. De Gaulle se réveille et se demande ce qu'il lui veut encore ce couillon. Il prend possession de son corps et dit : Paf ! En lançant violemment la main de Chirac en plein milieu du saladier contenant les œufs battus, en en faisant gicler partout autour ! Comment ça paf, Gueule Chirac ? Ben paf, lui répond De Gaulle en lui relançant la main dans le saladier d'œuf. Chirac en a plein la tronche, la cuisine est pleine d'omelette crus, et une troisième fois de l'œuf gicle partout. C'est assez clair comme ça ? Puis l'esprit de De Gaulle quitte Chirac ! Et moi je me réveille, hilare, avec l'image de la tête de guignol de Chirac pleine d'omelette crue !

Franchement, je fais des rêves con, mais con !

05 avril 2006

Encore un rêve.

Cette nuit, j'ai révé que j'étais dans un park d'atractions genre Eurodisney, sur le balcon de ma chambre d'hotel, en train de regarder la Féérie de Noël...

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ET LE PERE NOEL ETAIT BLEU !
Et ses lutins aussi...