19 juillet 2007

nouveau récit

J'ai commencé un nouveau récit sur Doctissimo. Très discutable, mais j'avais l'idée depuis longtemps. Mais je n'arrivais pas à m'y mettre. Et mon texte à pour but d'être tellement dérangeant que je n'arrive même pas à l'écrire...

Il s'apelle en série...

05 juillet 2007

Alors il me dit…

Alors là le garagiste il me dit vous comprenez ma petite dame c'est le contrôleur de l'injecteur qui a lâché c'est juste une petit pièce de rien et moi je lui répond combien, combien ça va me coûté et lui il me dit pas grand-chose pas plus de trente euros en comptant la main d'œuvre et puis si vous voulez je vous prêtes mon plateau pour aller chercher la voiture alors moi je lui dit merci évidemment mais je lui dis que je ne pourrai lui rendre que le lendemain et lui il me répond que y'a pas de problème parce qu'il en avait pas besoin de toute façon parce que c'était le sien pas celui du garage alors la papa lui a quand même donné trente euros en plus pour le remercier parce que c'était normal et qu'il était vraiment gentils et que sans lui il aurait fallut appeler la dépanneuse et là c'est autrement plus cher, en Allemagne quand je me suis fait siphonner mon réservoir... ad libitum !

Je ne comprendrais jamais cette capacité qu'ont certaines femmes à se souvenir de discussions, passées depuis plusieurs années, et à les répéter, mots pour mots, comme si chacun avait une importance cruciale. Cet absolue manque de capacité synthétique est absolument terrifiant.

Pendant les vacances, une jeune demoiselle fort jolie vient remplacer la standardiste de mon taf. Dans mon obsession mâle pour tous ce qui ressemble à de la chair fraîche, j'ai tenté lors d'un pot de discuter avec elle. Incroyable comment mes ardeurs se sont calmées d'un coup !
Même si je ne cherchai rien d'autre que de m'offrir la possibilité de, bien plus excitante que la réalisation dans bien des cas, et surtout bien plus raisonnable au regard de ma fidélité sans faille à ma douce et tendre, j'avoue qu'une pipelette sans aucun esprit de synthèse et une mémoire sans faille est bien plus castrateur que beaucoup de mère juive…

23 juin 2007

hum...




Et ça continue ! Le lavage intestinal ! Remarque, c'est pas mal pour un blog, c'est un peu ça le concept... A part les skyblog, où c'est plutôt du lavage de cerveau.

13 juin 2007



Plutôt cocasse non les annonces sur le blog de cha ? j'aime beaucoup le "vagin femme" qui renvoie sur des fringues.
Remarque, des fringues grands public, avec libre vue sur les parties intimes de ces dames, y'aurait des heureux. J'imagine les émeutes au début...
Quant à la pub pour des petites annonces lesbiennes, je pense que cha est cataloguée... et que moi avec ce post, je vais avoir de la visite. ;)

18 mai 2007

La nuit, bordel, c'est fait pour DORMIR !!

Je sais pas vous, mais moi une fois que je suis dans un lit, mon cerveau se met en veille. Objectif avoué : dormir. Il reste juste quelques tache de fond du genre : pisser, et au chiotte c'est mieux, vigilance, le moindre bruit et mon cerveau se reveille suffisament pour me permettre d'analyser la nature et l'origine du bruit suspect, et à la limite sexe, parce que je suis un homme ne l'oublions pas.

Donc la nuit, c'est fait pour dormir.
On se reveille tous de temps en temps la nuit pour pisser, ou parce qu'on a trop chaud.
On essaye de ne pas reveiller l'autre, et de se recoucher sans bruit. Puis normalement tout notre esprit tend à se rendormir au plus vite pour profiter de ces quelques heures de félicité qu'il nous reste dans les bars de morphée.
Il ne viendrai à l'idée de personne de, par exemple, se reveiller pour pisser, puis de reveiller son conjoint pour lui rappeler ce qu'il faut faire le lendemain, lui faire part de ses angoisses, des soucis d'organisation du WE, parler de son taf, de ses soucis avec sa patronne, où encore lui faire des reproches, l'engueuller parce qu'il s'en fout, qu'il n'écoute pas, lui dire que cette conversation ne menne à rien (seule remarque pertinente il faut le souligner), alors que le conjoint sus-dit ne pense qu'à une chose : dormir ! Et pour ça, qu'elle ferme sa gueule...

Je ne sais pas si c'est une caractéritique féminine, ou juste une capacité du modèle que j'ai choisi, mais je me serai bien passé de ces deux heures d'insomnie consécutives à l'énervement, et au reveil trop prononcé qui s'en est suivi, d'autant plus que la veille, j'avais fait part de ma fatigue extrême et du besoin réel de sommeil que j'avais (ce qui bien sûr lui a donné envie de sexe).
Va comprendre... moi pas.

10 mai 2007

FIRED…

Ça fait tout drôle, c'est la première fois que je me fais virer.


Mon supérieur m'a demandé de le rejoindre dans le bureau du big boss. Ils m'ont demandé de m'asseoir - table ronde, vaste bureau clair et grande verrière, tableau velleda couvert de chiffres – je me suis exécuté, calmement, attendant la sentence.

Après deux mois de terrain, je n'avais pas réussi à convaincre de mes aptitudes d'analyse d'une situation moyennement complexe lors d'une conversation de vente avec un prospect. Alors dans la problématique des clients grands comptes bourrés de pognons, aux structures industrielles complexes, qui aurait dû être mon secteur d'activité, je savais pertinemment qu'ils n'allaient pas me garder.
D'autant plus que je n'avais pas fait montre d'une réelle motivation ni d'une réelle implication dans le métier de commercial.
Ça oui, pour les logiciels que j'allais vendre, j'avais tout déchenillé, mais le boulot de commercial, faut être honnête avec moi-même, ça me lourdait grave !

Bref, je suis dans le bureau, et mes supérieurs me sortent toute sorte de vérité sur moi, pas toujours facile à entendre même s'ils parlent aussi du positif, et moi je me défend, leur renouvelle ma motivation profonde pour ce poste, alors qu'il n'en est rien…
Mon CDD ne sera pas transformé en CDI. C'est joué. Ils me gardent par honnêteté jusqu'à la fin du CDD, mais m'occuperont à autre chose. Malgré tout, c'est le retour à la case départ !

Retour au chômage prévu pour fin juillet.
C'est con, même si je dois bien l'admettre, commercial, ça me déprimait sévèrement, tout les à-coté du job me plaisaient. Travailler dans l'informatique, pour le monde viticole, en Alsace, avec une voiture de fonction, un bon salaire… Avoir un job fixe, bien rémunéré, me permettant enfin de me poser avec ma compagne. Changer d'appart, voir acheter pourquoi pas, renouveler certains de nos meubles, voyager, prendre enfin de vrais vacances pas trop à la dèche, penser à avoir un gosse… Avoir enfin confiance en moi sur le professionnel, dormir enfin le WE sans angoisse, sans remord et culpabilité : la mienne, additionné de celle de ma compagne (elle-même lourdement additionnée de celle de ses parents)…

A 29 ans, retour à la case départ. Un CV où une énième expérience sans aucune cohérence avec les précédentes s'ajoute à la liste de mes incompétences.

A 29 ans, j'ai toujours en leitmotiv dans la tête la complainte de la serveuse automate :

"Qu'est-ce que j'vais faire aujourd'hui ?
Qu'est-ce que j'vais faire demain ?
C'est c'que j'me dis tous les matins
Qu'est-ce que je vais faire de ma vie ?
Moi j'ai envie de rien
J'ai juste envie d'êt' bien

J'veux pas travailler
Juste pour travailler
Pour gagner ma vie
Comme on dit
J'voudrais seul'ment faire
Quelque chose que j'aime
J'sais pas c'que j'aime
C'est mon problème"

Glauque.

Ce qui me déprime, c'est que je suis soulagé d'être viré. Pas seulement soulagé de ne pas faire un travail qui ne me plait pas, soulagé surtout de ne pas avoir à faire les efforts qu'ils allaient me demander. 13 heures pas jour, me donner à fond pendant environ 3 ans. Soulagé de la responsabilité professionnel que j'allais avoir. Soulagé de travailler ?
Je sais que je n'ai pas le choix.
Mais malgré tout, je suis partagé entre une envie de tranquillité profonde. Un boulot chiant de fonctionnaire sans ambition, répétitif, 35 heures, à 17h29 on est barré… et on comence à vivre !Et mon envie de pognon, offrir à ma futur femme la vie qu'elle mérite, ou dont elle rêve, lui offrir une image de moi confiant, abouti socialement, respectable, dynamique.

La seule ambition que j'ai, c'est pour elle. Moi, tant que je peux lire des livres, me connecter au net en ADSL, allez au resto de temps en temps, et suivre à peut prêt le train de vie de mes potes, je suis heureux. Pas elle.

Si j'assume mon petit égoïsme personnel, je ne donne pas cher de notre relation. Si j'assume à fond son ambition, ou plutôt mon ambition à travers elle, je m'oubli moi, je deviens quelqu'un d'autre. Et je n'y arrive pas. Je suis totalement immuable pour l'instant. Depuis 29 ans, je pense que je n'ai jamais réussi à me remettre en question correctement. Non pas que je n'ai pas exactement conscience de mes défauts et de mes névroses, mais surtout que je n'arrive absolument pas à évoluer en conséquence.

Un rocher, immuable malgré la violence des flots, qui seraient persuadé qu'il arriverait un jour à flotter, voilà ce que je suis.

Bref, je suis viré, et me revoilà parti pour quelques mois de doutes et d'angoisses.

Et tiens, j'ai même pas le coeur à vérifier l'orthographe.

28 février 2007

Eloge de la beauté

Comme elle est loin de moi, en mémoire je la vois,
Qu'avec ces quelques mots, tous puissent la contempler,
Pour vous faire partager, son exquise beauté,
Mais n'oubliez pas, qu'elle restera à moi !

Tant de ravissements dans un corps unifié,
Soudain je suis sans mots, je ne sais commencer.
Si, ses cheveux ondulent, vaguent, frisent et volent
Sombre masse opulente et à l'allure folle !

Par ses doux yeux immenses au regard rieur,
Par sa bouche veloutée au sourire enjôleur,
A son entrée dissipe toutes mes noires idées.

Pour parler de ses hanches, aux courbures divines
C'est dans un long roman aux tournures bien coquines
Qu'il me faudrait écrire mes intimes pensées.

16 février 2007

Y'a quelqu'un ?

Des semaines que je ne suis pas venu sur mon Blog.
Plein de trucs à raconter, à tel point que je ne sais par où commencer.
En fait si : J'écris cette note du... travail !
Je crois que rien ne remet plus en question notre mode de vie que de passer de "aucune obligation" à "aucun temps libre" !

Pour décrire correctement mon travail, et surtout ma manière de le percevoir, je dois d'abord rappeler quelques détails propres à ma personnalité et à mes goûts.
Tout d'abord, je suis très attaché à réussir à trouver un poste dans une maison de champagne. Sans vouloir paraitre totalement intéressé, par "convention collective du champagne" le champenois exprime ce que tout autre humain normal traduit habituellement par "pognon !" "Beaucoup pognon".
Le moyen d'arriver à me faire embaucher dans une telle structure, j'aurai tendance à dire que je m'en tamponne le coquillard, que je m'en contrebalance presque autant que de la disparition des G-SQUAD. Je dis presque parce qu'un poste en environnement me plairait assez.
Bref, dans ma recherche d'emploi, le maitre mot était le vin, pour garder mes entrées en champagne.
Au-delà de ça, en tant qu'écolo gauchiste primaire, voire secondaire dans mes envolées, je répétais depuis tout petit : "plutôt crever que d'être commercial !". Le capitaliste à pas bien prout… Tripes du dernier curé pour pendre le dernier patron… L'argent c'est le diable et tout et tout !
Ceci étant dit, me voilà donc commercial dans l'informatique !
Pas de moquerie SVP… Si ça s'arrêtait là, je pense que j'aurais accélérer mon suicide prévu pour 2011 dans le meilleur des cas (Demander à Papus il vous expliquera, à ses livres tout du moins, lui, y'a qu'aux asticots qu'il sert encore…).
Pour compléter un peu la description de mon boulot, je suis vendeur de logiciel informatique spécialisé pour le monde vitivinicole (le pinard quoi), et plus précisément sur les grands comptes (le pognon quoi).
Bref je suis dans une boîte bien, qui me paye bien et à rien faire actuellement, en tout cas pas à ramener de l'argent (vocation du commercial si j'ai bien compris ce qu'on attend de moi), dans la mesure où je suis en pleine formation sur les logiciels que je vais vendre. Je vais avoir une voiture de fonction, une C4 pour être exacte. Que je me permette une digression (je dis JE dans la mesure ou je suis mon unique interlocuteur-lecteur et que du coup je ne vois pas pourquoi je ne me permettrai pas de digression, vu que je m'écris à moi-même, et qu'à près tout je ne vois pas en quoi je me dérangerai, ou alors il me faudrait admettre que je suis sacrément dérangé / con (rayer la mention inutile), ce qui malgré tout n'est pas loin d'être le cas vu que je m'écris à moi-même !), la C4 car c'est de ça que je veux causer, me plait beaucoup. Je tiens expressément à insister sur mon inintérêt total pour les voitures en dehors de leur capacité de m'emmener d'un point A vers un point B, en vie, sans emmerdes, avec le moins d'impact possible sur la planète, et sans amendes grâce à un limitateur de vitesse (je suis fan !). La C4 répond parfaitement à cette attente. Le fait que la C4 soit belle, grande, spacieuse, élégante et racé et somme toute assez classe me passe là (voir figure 1, comme dirais Desproges) !

Desproges d'ailleurs… Ah comme j'aime cet homme. Je suis prêt à échanger tout les Bigard du monde contre quelques heures supplémentaires de Desproges. Mais je pense que je ferais une note spécialisée sur Desproges.

Donc je travail beaucoup pour donner confiance en moi : "regarder je sais donner de mon temps (vendre de mon temps, faut pas déconner !) et m'investir… Transformez mon CDD en CDI !" Non pas qu'un fois le CDI passé et la période d'essai révolue je n'en branlerais plus une, c'est pas mon genre, mais qu'il ne compte pas sur moi pour ne plus vivre, penser, parler, chié même que par le boulot !
Le taf, qu'il me soit permis de le rappeler ici (et encore une fois je me le permets avec bonne grâce) le taf, ça sert à gagner du pognon ! Uniquement à ça ! On peut y prendre plaisir, c'est d'ailleurs souvent moins douloureux, mais la vocation première reste de nous permettre de manger !
LA VRAIE VIE EST EN DEHORS !!! Et grâce à ce métier, je vais me faire plein de contact chez les viticulteurs Alsaciens, et trouver des bons plans vin qui agrémenteront la vraie vie justement.

Bon, c'est pas le tout, je continuerais bien encore à m'écrire pendant des heures, mais c'est que j'ai un train à prendre (pour de vrai, pas métaphoriquement).

La suite au prochain épisode.

08 janvier 2007

We wish you a faty christmas !

Arf, je reviens de vacances. Je me pèse avant d'aller me laver. Horreur !
Puis j'entre tranquillement dans ma douche. Mon cerveau se mets en veille, les gestes sont des réflexes. Il en profite sournoisement pour me distiller de la musique choisi par lui. Et c'est un revenant parmi ma banque mémoire musicale qui gagne la palme : Papa Schultz ! Pas entendu l'air depuis bien 10 ans ! Me demande bien pourquoi ce enculé de cerveau m'a fait chantonner ça juste après m'être pesé ??

Sinon, je suis toujours au chômage. Et ça commence à faire grave chier ! Zéro loisirs jusqu'à ce que j'ai trouvé ! Voilà ma bonne résolution 2007 ! Combien de temps vais-je tenir ? 1 mois ? 1 semaine ? 1 heures ? y'a qu'a voir, je suis déjà sur mon blog plutôt que sur l'ANPE...
Vais chier toutes ces conneries ! Je VEUX un travail ! Mais je VEUX PAS le chercher... sniiff... Dur dur d'être une feignasse ! Dur dur d'être une feignasse ! Faut faire ci faut fair ça... cherche ici et puis là ! Patati et patata ! Enculé de Jordi aussi (je sais c'est gratuit et sans fondement mais je suis énervé ! Et il dois bien le mériter d'une façon ou d'une autre.)