28 février 2007

Eloge de la beauté

Comme elle est loin de moi, en mémoire je la vois,
Qu'avec ces quelques mots, tous puissent la contempler,
Pour vous faire partager, son exquise beauté,
Mais n'oubliez pas, qu'elle restera à moi !

Tant de ravissements dans un corps unifié,
Soudain je suis sans mots, je ne sais commencer.
Si, ses cheveux ondulent, vaguent, frisent et volent
Sombre masse opulente et à l'allure folle !

Par ses doux yeux immenses au regard rieur,
Par sa bouche veloutée au sourire enjôleur,
A son entrée dissipe toutes mes noires idées.

Pour parler de ses hanches, aux courbures divines
C'est dans un long roman aux tournures bien coquines
Qu'il me faudrait écrire mes intimes pensées.

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