13 juillet 2004

Où je continue de jouer les voyeurs dans les douches

Ce jour là, j'avais le temps de rester longtemps dans ma douche. J'avais choisi la douche qui avait des trous de chaque coté. Je bouchais une des deux cotés pour pas me faire repérer. Je suis un peu parano aussi je crois. Cette hollandaise est entrée, mais elle était immense, il n'y avait pas de trous en hauteur, juste au niveau de son sexe, mais je voyais mal tellement elle était grande. Frustration intense, la plus fine fleur des pays bas est nue dans la douche a coté de moi, et les trous sont prévus pour nos chères petites françaises ! Toujours est-il que de dépits, je décide de me laver, jusqu'à ce que j'entende des bruits de type floc floc floc floc… Je regarde, et c'est avec une émotion immense, que je vois la main de cette sublime hollandaise aller et venir dans sa blondeur. Ses mains jouaient sur son sexe, ses doigts se plantaient profond entre ses lèvres, elle touchait peu son clitoris, préférant visiblement se caresser les lèvres et enfoncer ses doigts dans son vagin. Elle à mis un temps incroyable à jouir. J'avais moi déjà eu le temps d'éjaculer bien que je voyais mal. C'est vers la fin que ses jambes commencèrent à fléchir, et à se ramollir, que je pus voir enfin son sexe et ses doigts entrer et sortir des poils blonds dissimulant mal une fente rose et savonneuse. Elle jouit avant que j'ai le temps d'éjaculer une seconde fois. Peu importe, je continuais de regarder son corps et de me branler.
Elle sortit plus vite que moi et j'ai eu du mal à reconnaître la fille. Mes présomptions, vu ses habits et son allure allèrent sur la fille de nos voisins d'emplacement de camping, qui était en effet certainement la plus belle fille de ce camping. Une splendide hollandaise d'1m80, aux yeux du bleu le plus pur, aux cheveux et au sexe du blond le plus pâle, de petits seins fermes et mignons, et des hanches fines. Un visage d'ange, proche de la perfection de ses pays là.
Je me suis longtemps branlé en pensant à cette hollandaise et à ses doigts qui jouaient dans son sexe. Parfois même encore, mais beaucoup plus rarement.

12 juillet 2004

Où je joue le voyeur dans les douches.

C'était l'été. Un camping près de Royan.
Les douches avaient souvent des trous percés par des petits malins à la hauteur voulue.
De qui se régaler parfois.
Trois fois j'ai eu la chance de voir des scènes suffisamment intéressantes pour que je me branle.
La première est toute innocente.
J'étais plus jeune à l'époque. Je devais avoir dans les 20 ans.
J'étais donc dans la cabine de douche. Tout le monde savait que les cabines étaient percées, et donc les gens parfois essayaient de boucher les trous avant de se déshabiller. J'avais trouvé la technique pour les en dissuader. Quand les gens entraient, j'avais pris soin de boucher le trou avec de la mousse de ma douche. Du coup, ils croyaient que personne ne pouvait regarder. Ils oubliaient donc le trou. Quelques minutes après j'enlevais la mousse.
La fille avait 15-16 ans. J'avais une vu parfaite sur la zone de son sexe. Cette cabine n'avait pas de trou haut pour voir ses seins ou son visage. Je me contentais le sexe à la main de regarder son sexe, et l'eau qui coulait dessus. J'attendais le moment ou elle se laverait le sexe, ou sa main passerait dessus ou ses doigts glisseraient sur cette fente que je devinais parfois cachée dans cette forêt de poils noirs. Effectivement, elle en vient à se laver le sexe. Elle n'y resta pas longtemps, mais ce fut suffisant pour que j'ai droit au spectacle fabuleux de ses lèvres qui s'ouvre, qui se déploient comme une rose au matin. Ses lèvres excitées par cette main inquisitrice qui fouillait la moindre trace de saleté. C'est malgré tout sans lubricité qu'elle se lavait, mais son sexe excité par le contact réagissait comme si ces doigts passaient là dans le but coupable de se donner du plaisir.

La deuxième expérience est plus commune, mais tout aussi excitante.
Un couple entre dans la douche à coté de moi. Je me lave, un peu pressé ce jour là. C'est seulement quand je commence à entendre des bruits de souffle, et la paroi de ma douche qui bouge un peu, que je me penche pour regarder. La fille avait les mains plaquées sur la paroi commune entre nos douche, de manière que je voyais son sexe juste dans le trou, et que je voyais ses mains courir sur son clito, et écarter ses lèvre pour recevoir encore mieux le sexe qui lui entrait et lui sortait du con. Je voyais ce sexe entrer régulièrement, violemment, et elle qui se doigtait en même temps, pour accroître son plaisir. Scène interrompue par l'éjaculation rapide de l'homme dans le vagin de sa compagne, elle visiblement n'avait pas atteint l'orgasme, mais moi si, et c'est tout tremblant que j'avais continué ma douche.

La troisième anecdote est ma préférée, je la réserve pour plus tard.

Au passage, j'ai caché quelques part sur ce blog un lien vers un site assez sympa qui devrait plaire au lecteur de cette histoire...

Juste pour le plaisir des yeux

En ce moment, je travaille dans les vignes.
Je vais souvent sur le terrain avec d'autres stagiaires. Des filles la plus part du temps.
On passe notre temps à nous lever, nous rabaisser, nous lever….
J'ai du coup la possibilité de voir dans l'entrebâillement de leur T-shirt. Voir la naissance de leurs seins, voire parfois plus. Petit plaisir totalement inutile, mais dont je ne peux me détacher.
Je guette chacun de leur mouvement, histoire de voir leur poitrine, espoir secret de voir un bout de téton dans un soutien gorge trop grand. Espoir de voir la blancheur de ces globes de chair à mes yeux offerts. Juste voir. A aucun moment ne me vient l'idée de les toucher. Je dois être un peu voyeur.
Pareil, l'autre jour, soirée entre amis. La copine de mon meilleur ami avait un décolleté assez généreux, elle se penchait souvent. J'aime ses seins. Bien rond et plein sans être trop gros. Ils tiennent juste dans la main, un peu plus peut-être. Ils donnent envie d'^être touchés, regardés. Mes yeux n'arrivent pas à s'en détaché. Pourtant ma copine est là, avec un décolleté aussi généreux. Mais je n'aime pas trop ses seins. Je lui ai déjà dit, il y a longtemps. Erreur grossière, mais j'ai trop tendance à être honnête. Je n'allais pas lui mentir toute notre vie ? Je n'allais pas éviter un sujet auquel elle tenait toute notre vie ? Je devais être honnête ? Je l'ai été. Mais j'ai droit régulièrement à des remarques sur ses seins qui ne sont pas beaux. Elle ne le digérera jamais. Elle a du mal à supporter de ne pas être parfaite. Un peu comme toutes les filles remarque. Mais elle, est très sensible à l'apparence.
Ce qui m'énerve en fait, c'est que mon avis ne lui suffise pas. Je la trouve belle, vraiment belle. Je la trouve même parfois d'une beauté à couper le souffle. Quand elle est heureuse, le monde entier rayonne autour d'elle. Elle transmet sa joie de vivre comme on refile un virus. Son visage est un phare auréolé de lumière. Son corps est exactement comme je les aime. Pulpeux et charnue les rondeurs qu'il faut pour être une femme, une vraie, pas ces maigrichonnes imitations (à teins, ça m'énerve, faudra que je revienne sur les top model de 40 kilos !). Sa taille fine et ses hanches si féminines. Ses cheveux longs et bouclés, une crinière sublime. Bref, je la trouve vraiment jolie, je lui répète souvent, elle le sait et le regard que je pose sur elle est sans équivoque. Mais que l'homme qu'elle a choisit la trouve sublime ne lui suffit pas. Elle voudrait que la terre entière l'aime et la trouve splendide.
Bref, ma copine était là, et je ne me détachais pas des seins d'une autre. Mon regard aimanté, attiré par leur blancheur et leur rondeur comme un insecte par la lumière. Ma vie est guidé par ça vous dis-je ! Je ne vis que vous ces moments infimes de plaisir voyeur. (d'ailleurs, ça me fait penser çà raconter mes quelques expériences dans ce domaine).

09 juillet 2004

L'Homme est une espèce inachevée.

En fait, pour revenir sur ce que j'ai écrit précédemment, je pense que je suis normal.
Normal en ce sens que tout les hommes sont tous obsédés.
Un mix de théorie réelle, tiré de livre très sérieux m'amène à penser que l'homme est dirigé par deux phénomènes ou concept ou truc machin c'est vous qui voyez : L'instinct et le cerveau.

L'instinct pousse l'homme à vouloir se reproduire.
Quand on étudie la vie dans sa globalité, on en vient à se poser des questions d'une profondeur abyssale. A quoi sert la vie ? Exemple jusque boutiste du seul et unique but de la vie sur terre. Le Virus ! a quoi sert de vivre pour un virus ? Un virus ne mange pas, ne se déplace pas, ne respire pas, ne boit pas, ne copule pas, un virus ne fait RIEN. Seulement, par hasard, il va se trouver en contact avec une cellule compatible. La, il profite de toute la machinerie interne de cette cellule pour faire des copies de lui-même, copie, qui jusqu'à ce qu'elle trouve une autre cellule compatible, ne feront rien. Mais réellement RIEN ! Quel est donc la motivation ? Dans la mesure ou il n'y a même pas de résonnement conscient chez le virus, le fait qu'il ne fasse rien est juste un état de fait (je sais qu'il y à trop de fait dans cette phrase mais en la relisant elle est compréhensible). Bref, un virus n'est sur terre que pour continuer à être sur terre. Il ne l'a même pas choisi, le hasard de la création de la vie sur terre lui a donné cette particularité : Etre là, et continuer à être là.
Au cours de l'évolution, le champ de liberté des organismes vivants à augmenté, mais au fond d'eux, il n'y avait toujours aucun raisonnement conscient, qui définissaient leur motivation à vivre. Ils continuaient à être là parce que c'était comme ça.
Qu'est-ce qui nous diffère de l'animal ? (si tant est qu'on puisse se considérer comme le sommet de l'évolution et donc au dessus de la condition d'animal, principe sur lequel je reviendrais certainement plus loin) Notre conscience je pense nous permet d'avoir le choix. Le choix de vivre ou de mourir, le choix de sa nourriture, le choix de sa partenaire sexuelle, le choix de vivre en société ou reclus. Bref, notre vie est libre. Notre conscience nous à pousser à bâtir des sociétés. Pour réussir à gérer ces sociétés humaines, l'Homme à créer des principes moraux. Ces principes sont inhérents à notre condition d'être humain. Ce qui détermine si on peux se considérer comme obsédé est totalement dépendant de notre société. Il n'y a donc aucun principe absolu, aucun acte de notre société qui soit empiriquement abjecte. Les lions tuent les petits de leurs rivaux pour que leur femelle récemment acquise soit de nouveau en chaleur. Les loups se mangent entre eux. Les éléphants violent des rhinocéros. Les singes se volent leur nourriture, et se masturbent souvent. Ils se servent du sexe comme d'un instrument de pacification. Je pense que de toute la perversion humaine, seule la nécrophilie n'existe pas dans le règne animal.
L'espèce humaine est une espèce ratée ! Elle à évolué plus vite que n'importe quelle espèce sur terre. J'en veux pour preuve des défauts physique avérés. Les adolescents on trop souvent des problèmes de genoux, du à une croissance trop rapide, incompatible avec la position "debout" nouvellement acquise. Les femmes enfantent dans la douleur, car au cours du redressement de l'Homme, le bassin s'est renforcé, réduisant le diamètre du passage pour l'enfant. Celui s'est aussi coudé, rendant encore plus difficile le passage. D'un point de vue physique, l'homme est une espèce inachevée, imparfaite. Pourquoi ne le serait-elle pas d'un point de vue morale ?
Nous restons encore trop influencés par nos instincts malgré notre société qui voudrait que nous nous comportions tous en Homme sociable.
L'espèce humaine s'étant redressée trop vite, le sexe de la femme fut caché au regard des hommes. La femme n'avait plus de moyen pour dire à l'homme qu'elle était féconde, qu'elle était attirante sexuellement. Pour compenser ce problème, son apparu les caractères sexuels secondaire. Les seins, les fesses, les lèvres. Ces trois organes charnus n'existent que chez l'homme. Aucun autre mammifère n'a de zones charnues à ces endroits. Les mammifères ont des mamelles, mais elles sont vides et utilitaires, ce ne sont pas des seins. La graisse entreposée là ne sert à rien, juste à faire joli, et à dire à l'homme, "Regarde, je suis féconde !".
Petit exemple marrant sur notre société actuelle. A quoi sert le GLOSSY sur les lèvres ? A quoi sert de se faire regonfler les lèvres ? Pourquoi une fille est plus jolie si ses lèvres sont gonflées et luisantes ? Parce que ça rappelle à l'homme que son sexe est gonflé et juteux. C'est une manière détournée de lui montrer son sexe et son désir d'être prise.
La femme a fait son évolution génétique dans le but d'attirer le regard de l'homme plus sur elle que sur sa voisine. Ce n'est pas un but conscient, mais un but évolutionnel, tel que l'a décrit Darwin. Les individus les "meilleurs" auront plus de chance de se reproduire. La femme aux plus gros seins aura plus de chance de se reproduire. Ca paraît abjecte de penser ça dans notre société actuelle, mais là) je parle des instincts qui dirige nos vies, pas des principes qui dirigent nos vies. Instinctivement, l'homme a le regard attiré par tout ce qui ressemble de près ou de loin à des seins, des culs, des lèvres.
Chaque fois que je vois une fille dans la rue qui me plait, je fantasme donc. En ça, je réponds uniquement à mes instincts bestiaux.

Ce phénomène d'instinct se retrouve aussi chez la femme.
La femme est attirée par le mâle dominant. Celui qui aura pourra se différencier des autres et donc protéger ses enfants et donc assurer une descendance. L'homme fort, vient en tête de ses classement, mais notre société à créer de nouveau types de dominants. La femme réagit encore instinctivement. L'homme le plus intelligent, le plus marrant, le plus sûr de lui, le plus riche, le plus beau, le plus cultivé.
Instinctivement, la femme à besoin que son homme la rassure, et qu'il sorte du lot dans au moins un domaine.
Instinctivement, l'homme a uniquement besoin du sexe.

Le cerveau vient compliquer l'affaire.
Après, ce qui permet à l'Homme de passé outre ses instincts, c'est le cerveau. Nous avons conscience qu'il faut vivre en société. Il est impossible de satisfaire toutes ses pulsions et d'être en accord avec la société. Sinon, on est un psychopathe. Le psychopathe est une personne qui n'a pas de valeur morale. Il ne peut pas vivre en société. Il ne sait pas ce qu'est le bien ou le mal. Seul la satisfaction immédiate de ses désirs compte. Il peut être intelligent et cultivé, mais il est incapable de contrôler ses pulsions et ses instincts.
Un homme normal a un cerveau qui lui permet de contrôler ses pulsions, de porter un jugement sur une action. Son cerveau est modelé à la société dans laquelle il a été éduqué. Cette société l'a modelé pour qu'il puisse y vivre sereinement, et sans la troubler.
Quand je croise une fille dans la rue, la société ne veut pas que je lui saute dessus pour me reproduire ! Mon cerveau m'en empêche. La société à créer la culpabilité, la justice, la pudeur, la honte, le complexe, la bienséance… toute sorte de lois morale, tacite, ancrées très profond dans notre subconscient.
Chaque Humain est donc partagé entre son instinct et son "cerveau sociable". Ces deux composantes additionnées donnent 100%
Un psychopathe aura par exemple 95% d'instinct, et 5% de cerveau sociable.
Le prêtre aura 90% de cerveau sociable et 10% d'instinct.
Nous avons tous en nous une grosse part d'instinct qui nous dirige sans que nous en ayons conscience. C'est cette part qui dirige nos obsessions, nos fantasmes, nos perversités…

C'est pourquoi je ne pense pas être obsédé, mais juste peu adapté à la société en ce qui concerne mes instincts de reproduction.

je suis un obsédé

J'ai 26 ans. J'emménage avec mon amie d'ici deux semaines. Tout va bien dans ma vie, grosso modo.
Et pourtant je suis un obsédé.
Ma vie est dirigée par ce plaisir infime et inutile de regarder les filles. Mon cerveau est prêt à fantasmer sur tout ce qu'il voit.
Une fille dans la rue, dont l'allure me plaira, pourra me faire changer de direction juste pour voir son visage, juste pour voir son corps un peu plus longtemps. Léger moment de suspens, m'aura-t-elle remarqué ? Mon cerveau se met alors en mode fantasme. Et c'est mon sexe dans sa bouche, dans une ruelle sombre qui s'impose à mon imagination.
Surtout les filles jeunes, qui ont encore beaucoup à apprendre, et que l'on peut former. Sans parler de pédophilie, car je parle de fantasme, pas de réalité, et qu'il y a une limite à la jeunesse, j'avoue être très excitée par la candeur et par l'inexpérience. L'idée de pouvoir modeler une fille à mes goûts, mes envies, me fait plus fantasmer que tout autre chose.
Tous les matins, quand j'allais à la fac, je passais dans un quartier ou il y avait un collège et un lycée. Je roulais en vélo, mais mon cerveau embrumé par le réveil difficile, je conduisais en pilote automatique. Chaque matin, je croisais au moins une jolie jeunette, et sans m'en rendre compte, je me mettais à penser à des trucs. Quand on y réfléchit bien, on se trouve abjecte, répugnant, vicieux, pervers, mais c'est tout de même tapis au fond de mon cerveau.
Imaginez, c'est a moitié endormi qu'on se met à rêver qu'on s'arrête devant ces deux gamines de 15 ans assises sur un banc, dans un coin désert. "Bonjour mesdemoiselles, bien sûr vous savez ce qu'est une bite, mais vous en avez déjà vu une ?, Allez-y vous pouvez touchez, ça craint rien, oui, comme ça. Tu veux goûter aussi ? Tu sais à la fin ça éjacule. Tu sais quel goût ça a le sperme ? Et là d'éjaculer dans sa bouche…
J'arrive à la fac, je bande et le vélo me fait mal. Je retombe dans la réalité, je me réveille un peu, mais ces pensées obscènes sont toujours au fond de moi.
Je sais que ces pensées sont au fond de moi, je sais que chaque jour, des pensées bien pire traverse mon esprit. Je sais qu'un homme pense en moyenne 8 fois au sexe par jour (je suis largement au-dessus de la moyenne !!), je sais que la société rend tabou toutes ces pensées, qu'elle uniformise les masses et tend à faire passer pour honteux les comportement "déviants" et bestiaux, je sais que l'héritage Judéo-chrétien de notre civilisation française est lourd, mais je n'arrive pourtant pas à me détacher de cette idée : Je suis un obsédé.

08 juillet 2004

Tout à un début

Manque total d'originalité.
Voilà, j'ai enfin un blog à moi. Je vais pouvoir l'abandonner comme beaucoup de monde au bout de quelques jours.
Je vais essayer de pas trop le laisser tomber quand même.


Alors, du quoi je vais parler sur ce blog ?
De tout, surtout de moi, de mon ressentit, des mes impressions. Faut prévenir les gens qui pourraient me lire, que je ne cherche pas à être lu. Juste à écrire. J'en ai besoin. Je passe ma vie à penser, et j'ai besoin d'un exutoire. D'où le nom du blog.
Bon, donc, il faut savoir que ma vie est dirigée par mes obsessions. Donc, dans ce blog, on y parlera souvent de cul, et souvent crûment. Je suis autant fâché avec le politiquement correct qu'avec l'orthographe.
Je vais vous raconter ou plutôt me raconter, tout ce que j'ai dans la tête, sans fard, sans camouflage, juste pour la satisfaction personnelle d'éviter ainsi d'aller voir un psy !

Voilà, c'est pas mal comme premier message. Je m'en contenterai pour le moment.