12 juillet 2004

Où je joue le voyeur dans les douches.

C'était l'été. Un camping près de Royan.
Les douches avaient souvent des trous percés par des petits malins à la hauteur voulue.
De qui se régaler parfois.
Trois fois j'ai eu la chance de voir des scènes suffisamment intéressantes pour que je me branle.
La première est toute innocente.
J'étais plus jeune à l'époque. Je devais avoir dans les 20 ans.
J'étais donc dans la cabine de douche. Tout le monde savait que les cabines étaient percées, et donc les gens parfois essayaient de boucher les trous avant de se déshabiller. J'avais trouvé la technique pour les en dissuader. Quand les gens entraient, j'avais pris soin de boucher le trou avec de la mousse de ma douche. Du coup, ils croyaient que personne ne pouvait regarder. Ils oubliaient donc le trou. Quelques minutes après j'enlevais la mousse.
La fille avait 15-16 ans. J'avais une vu parfaite sur la zone de son sexe. Cette cabine n'avait pas de trou haut pour voir ses seins ou son visage. Je me contentais le sexe à la main de regarder son sexe, et l'eau qui coulait dessus. J'attendais le moment ou elle se laverait le sexe, ou sa main passerait dessus ou ses doigts glisseraient sur cette fente que je devinais parfois cachée dans cette forêt de poils noirs. Effectivement, elle en vient à se laver le sexe. Elle n'y resta pas longtemps, mais ce fut suffisant pour que j'ai droit au spectacle fabuleux de ses lèvres qui s'ouvre, qui se déploient comme une rose au matin. Ses lèvres excitées par cette main inquisitrice qui fouillait la moindre trace de saleté. C'est malgré tout sans lubricité qu'elle se lavait, mais son sexe excité par le contact réagissait comme si ces doigts passaient là dans le but coupable de se donner du plaisir.

La deuxième expérience est plus commune, mais tout aussi excitante.
Un couple entre dans la douche à coté de moi. Je me lave, un peu pressé ce jour là. C'est seulement quand je commence à entendre des bruits de souffle, et la paroi de ma douche qui bouge un peu, que je me penche pour regarder. La fille avait les mains plaquées sur la paroi commune entre nos douche, de manière que je voyais son sexe juste dans le trou, et que je voyais ses mains courir sur son clito, et écarter ses lèvre pour recevoir encore mieux le sexe qui lui entrait et lui sortait du con. Je voyais ce sexe entrer régulièrement, violemment, et elle qui se doigtait en même temps, pour accroître son plaisir. Scène interrompue par l'éjaculation rapide de l'homme dans le vagin de sa compagne, elle visiblement n'avait pas atteint l'orgasme, mais moi si, et c'est tout tremblant que j'avais continué ma douche.

La troisième anecdote est ma préférée, je la réserve pour plus tard.

Au passage, j'ai caché quelques part sur ce blog un lien vers un site assez sympa qui devrait plaire au lecteur de cette histoire...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Par le plus grand des hasards, ce ne serait pas le camping du Logis à St Palais?????

Anonyme a dit…

Je viens de lire ton histoire et je m'y retrouve dedans... pourrais-tu me donner l'adresse du lien caché stp ?